vendredi 23 mai 2014

Alimentation prânique, un chemin d’exception

Alimentation prânique, un chemin d’exception

Si on s’intéresse à l’alimentation vivante, inévitablement à un moment ou l’autre de notre démarche, on sera interpellé par l’alimentation pranique. Dans cette perspective toute particulière de la nutrition devenue explicitement spirituelle, l’expression bien connue « vivre pour manger ou manger pour vivre » pourra s’adjoindre une troisième alternative : manger en toute conscience pour Être.
Qu’est-ce que l’alimentation pranique ?
Prana
Selon les Upanishads – écritures anciennes de l’Inde –, le Prâna (terme sanskrit) est une énergie vitale universelle qui imprègne tout et que les êtres vivants absorbent par l’air qu’ils respirent. Voilà, tout serait donc déjà dit : l’alimentation pranique, c’est se nourrir de Prâna !Prana

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L’alimentation pranique,
ce n’est donc pas ne pas manger,
c’est bien plutôt manger du Prâna,
beaucoup de Prâna, en toute conscience.
L’inconscience humaine
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Selon Reine Claire Lussier, pionnière de l’alimentation vivante au Québec (et ailleurs, car dans ce domaine les pionniers sont rares), la mécanique biologique maintient l’être humain dans un état d’inconscience. C’est-à-dire que n’étant pas « maître de sa matière » (l’expression est de R-C), l’humain peut s’accommoder de vivre en mode réflexe sa vie durant. On sait que notre organisme opère principalement par automatismes, les systèmes nerveux sympathique et parasympathique étant responsables des fonctions essentielles du corps : digestion, pulsations cardiaques, respiration, etc. Pour les adhérents à l’Âge du Verseau, l’humain est un être de lumière expérimentant la vie terrestre dans un corps de chair. À cette enseigne, son objectif est de maîtriser SA propre matière. C’est-à-dire spiritualiser son enveloppe physique à l’instar, peut-on dire, du créateur virtuose qui transmute littéralement la substance de son environnement : matériaux, sons, saveur, vibrations visuelles… en chef-d’œuvre!
Transformer son code biologique
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pranaPour vivre de Prâna, il faut d’abord réussir à transformer son code biologique (les fonctions digestives à tout le moins) en code pranique (la capacité d’extraire sa vitalité, dans le sens littéral du terme, de l’air ambiant). Ce n’est quand même pas de la tarte ! Là aussi, il faut être… virtuose. Maintenant, vivre de Prâna n’équivaut pas, selon Reine Claire, à arrêter de manger. C’est une conséquence possible. Hum, cette distinction a son importance, car la valeur de la démarche est transposée sur la conscience à acquérir vis-à-vis la nourriture, qu’elle soit dense avec les aliments physiques ou éthérée avec le Prâna, plutôt que sur le fait de ne plus manger. Le but recherché à travers l’alimentation pranique est donc de mettre de la conscience dans SA matière. Le chef-d’œuvre à réaliser, c’est soi-même ! À l’instar de certains yogis qui possèdent la maîtrise de leur respiration et peuvent conséquemment réaliser des prodiges : longévité inhabituelle, insensibilité à la douleur, don d’ubiquité, etc. les adeptes de l’alimentation pranique réalisent ce qui nous semble aussi un phénomène improbable : ne plus manger.
Est-ce vrai ?
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Les adeptes de l’alimentation pranique sont désignés par les termes respirien, inédien ou pranien. S’ils ne sont pas légion, leur existence, même rarissime, s’impose à notre intérêt tel un formidable manifeste quant aux capacités de l’être humain.
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pranaL’histoire officielle, mais surtout officieuse, nous signale au-delà d’une vingtaine de cas hypothétiques. Parmi les plus référencés dans notre culture judéo-chrétienne, signalons la Française Marthe Robin qui a vécu sans nourriture pendant 50 ans et mourut en 1981 à 78 ans et Thérèse Neuman, cette allemande qui pendant près de 40 ans se nourrit exclusivement d’hosties humectées d’eau jusqu’à son décès à 69 ans. Actuellement, un ascète Hindou du nom de Prahladbhai Maganlal Jani anime le débat : il s’alimenterait de Prâna depuis 69 ans. Il aurait aujourd’hui 81 ans. En 2003, ce dernier a accepté de participer à une étude scientifique menée à l’hôpital Sterling d’Ahmedabad (état du Gujarat, Inde), sous surveillance vidéo constante. Plus récemment, en avril 2010, le même ascète s’est soumis à une autre étude, et ce encore pendant une dizaine de jours sans manger ni boire. Si la science n’a pas voulu valider l’expérience, faute d’un protocole considéré inattaquable, ce type de démonstration « alimente » assurément l’énigme des respiriens.
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pranaPlus près de nous, d’autres personnes, apparemment saines de corps et d’esprit, jeunes et moins jeunes, confient leur cheminement d’exception sur Internet. Pour l’instant, il faut les croire sur parole. À cet égard, signalons l’athlète américain Jericho Sunfire, la française Isabelle Hercelin, le shaman Henri Monfort, Ellen Greve alias Jasmuheen, la plus connue et assurément la plus décriée des respiriens, et enfin la québécoise Reine-Claire Lussier par qui nous avons été sensibilisée à ce type d’alimentation. Marie-France Bernard responsable à « Conférences Québec » présente ainsi ses récentes allocutions :

Se nourrir de Prana, Mythe ou Réalité ?
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« Tout être humain qui s’éveille à sa potentialité peut devenir autonome et s’affranchir des lois terrestres. C’est là le destin de l’humain : maîtriser totalement sa matière. Le corps humain est conçu pour vivre uniquement de l’énergie divine. » (Les Guides)
Reine-Claire a transformé sa mécanique biologique en mécanique pranique. En toute simplicité et transparence, elle nous livre son expérience de cette troublante mais fascinante déprogrammation cellulaire. En nous décrivant ses peurs, ses résistances, ses recommencements, sa constance à poursuivre son objectif de maîtriser sa matière humaine, elle nous apprivoise et nous invite sur un chemin nouveau : celui de dépasser sans cesse ses limites et de s’harmoniser avec l’appel de son âme.
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Voir aussi le courageux livre de Reine-Claire et de son conjoint Gaal : Transparence II paru aux Éditions Ariane. Un journal de bord intime sur leurs aventures, si je peux me permettre, avec le Prâna.
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Dans cet article-ci, je m’inspire d’ailleurs largement de l’expérience de Reine-Claire.
Alimentation pranique, mode d’emploi
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L’être humain s’alimente d’eau, de nourriture végétale et, selon le cas, de chair animale. Il se nourrit aussi de façon réflexe par tous les pores de sa peau grâce aux rayons du soleil et à l’air. Ce dernier élément également inhalé par ses poumons, une bonne dizaine de fois par minute. Ainsi, c’est d’abord l’air qui « nourrit » le corps de façon essentielle. Toutefois, pour la plupart des gens, manger renverra naturellement aux trois repas quotidiens. Alors, l’idée demeurera toujours : On mange sinon on ne mange pas. Ce n’est toutefois pas si simple.
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Sur la base de certaines expériences partagées (on est quand même en pleine « terra incognita »), on apprend que le processus de transformation du code biologique vers le code pranique se déroule, habituellement, par étapes. Nous ne parlons pas ici de jeûner, car c’est une autre histoire. Nous en parlerons plus loin. Je laisse la parole à YV, l’auteur d’un site dédiéwww.pranique.com
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Au sujet de la purification des corps physique, mental, émotionnel et spirituel par la maîtrise de l’alimentation, il semble qu’il y ait un parcours classique d’étapes, mais néanmoins toujours individualisé et personnel. […]
Carnivore-omnivore, Végétarien
(c’est moi qui ajoute ces étapes préliminaires potentielles)
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végétalisme/frugivorisme – élimination des feuilles, tiges, racines et tubercules amène au fruganisme – diminution drastique des fruits graines et de la majeure partie du cuit amène au fruitarisme/fructivorisme – élimination des fruits-graines comme les noix et les graines de tournesol (alimentation concentrée) amène au paradisianisme ou pulpivorisme ou fruitarisme/fructivorisme sans graines – phénomènes mystiques et/ou besoin de manger encore plus léger amène au liquidarisme – un passage difficile et inconfortable de 3 semaines à un mois en sevrage radical, ou bien progressivement en diminuant les repas jusqu’à ne plus prendre qu’un repas de jus de fruit par semaine sans perdre trop de poids amène à l’aquavorisme – curiosité et besoin de cohérence pousse à réduire aussi l’eau et amène au respirianisme […]
prana[…] Il est dit qu’il faut environ un an pour consolider chaque étape de ce parcours, au moins jusqu’à l’aquavorisme, pour se sevrer de tout aliment sauf l’eau, soit 5 ans.
Ça peut paraître un peu compliqué, mais on comprend l’idée générale : on ne passe pas du steak au poivre au respirianisme. Reine-Claire, quant à elle, parle de sa démarche avec simplicité. D’omnivore-carnivore gourmande à végétarienne (cette étape initiée au début de la trentaine), elle est passée à l’alimentation vivante inspirée par une guidance intérieure, développant peu à peu son intérêt et ses connaissances de ce régime, pour finalement commencer à intégrer l’alimentation pranique en l’an 2000. Aujourd’hui son corps est ajusté à la mécanique pranique, elle peut ou non manger matériel à sa convenance. Elle confiera « partager » occasionnellement un repas avec son conjoint, au même titre qu’une autre activité comme aller au cinéma. Depuis 10 ans, elle s’est prêtée à beaucoup d’expériences de transmutation cellulaire et après quelques mois à se nourrir presque exclusivement de Prâna, elle a adopté de façon définitive le morceau de pain quotidien qu’elle ajoute à ses repas de Prâna, avec beaucoup d’eau.
L’importance du Prâna
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Tout est constitué de Prâna : vous, moi, la planète et tout ce qu’elle contient. Alors, la pomme ou la pizza, ou encore la boîte qui la recouvre, c’est seulement une question de quantité de Prâna. Quand on parle d’assimilation, autrement dit de transmutation alimentaire, il faut se rappeler que les aliments cuits fournissent peu de Prâna. Ils sont dévitalisés. Certains diront plus carrément, ils sont morts, car il ne reste aucun enzyme suite à leur cuisson au-delà de 104°F. Quant à manger du carton… Enzymes = Prâna ? Un peu, oui. L’alimentation vivante ayant conservé ses enzymes contient de ce fait plus de Prâna. C’est le Prâna qui véritablement nourrit notre organisme, que l’on soit conscient ou non de son action subtile.
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L’alimentation pranique engage la conscience de l’action du Prâna et son utilisation optimale dans notre organisme.
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pranaLorsqu’on mange des aliments matériels, du plus dense au plus éthéré (viande, aliments cuits, aliments crus, liquides, eau), notre système digestif doit travailler en proportion afin d’en extraire le Prâna. Plus l’aliment est dévitalisé, plus le corps travaille laborieusement et plus la quantité est au rendez-vous dans notre assiette. On mange trop ? Oui, car on mange vide. Le corps a faim, non pas de quantité, mais de qualité… Il a besoin de Prâna ! Il est reconnu que les adeptes de l’alimentation vivante ont moins besoin de manger que ceux qui mangent cuit. Bon, je viens de prêcher pour ma paroisse.
Nourrir les trois corps
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Manger pranique touche directement les trois corps suivants : physique, émotionnel et mental. Curieusement, on s’attendrait à ce que ce soit le corps physique qui se rebelle. Eh bien non, Reine Claire souligne que ce sont nos émotions et notre mental qui font le plus sérieusement obstruction à cette démarche. Le corps, au contraire, serait ravi de notre décision, quand elle est vraiment prise.
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En supposant qu’on désire s’initier à l’alimentation pranique, comment doit-on s’y prendre, en gros ?
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Je précise bien EN GROS, car ce n’est surtout pas un mode d’emploi à l’aveugle… D’abord, lâcher prise à la performance. On n’y arrive pas avec son ego. Maintenir son régime alimentaire habituel. Si on aime la viande, on mangera de la viande. Si on est végétalien convaincu, on poursuivra sur cet élan. Même chose si on est un adepte de l’alimentation vivante. On part d’où l’on est ; le Prâna fait le reste. C’est-à-dire ? La première et la plus importante chose à faire, en fait la seule, c’est d’intégrer la conscience que c’est le Prâna et seulement le Prâna contenu dans l’aliment ingéré qui nourrit. On intériorisera cette idée de « manger » du Prâna avant le repas. On peut bien sûr faire l’« exercice » plus souvent, tout le temps. C’est encore mieux, car plus on « assimilera » le concept, plus on expérimentera véritablement ses effets dans notre corps, lequel va commencer à nous parler… En clair, il va peu à peu nous donner le goût du Prâna et donc, si on parle de nourriture matérielle, d’une alimentation de plus en plus vivante. Parallèlement, et conséquemment, on aura moins d’élan, et finalement plus d’élan du tout, pour la nourriture cuite. Éventuellement, constatant que notre corps se nourrit parfaitement de Prâna (attention, il y a des paramètres précis pour le vérifier), on décidera de ne plus manger de nourriture matérielle, car devenue superflue. La démarche, dans sa totalité, peut prendre un temps variable. On parle habituellement d’années. Mais comme le but, vous vous rappelez, n’est pas d’arrêter de manger, mais de mettre de la conscience dans notre matière, on suivra donc son bonhomme de chemin sans se soucier de la destination.
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Dans le cadre de ses conférences, Reine-Claire propose quelques fois à la curiosité de son auditoire quelques trucs pour « déjouer la révolte de la matière » pendant la « difficile » période du sevrage. Là, c’est presque rigolo de voir comment le corps fonctionne à l’automatique. Mais bon, ce n’est pas le propos de cet article d’aller dans le détail du pratico-pratique. Je soulignerai cependant l’importance de l’eau à cette étape. Plusieurs litres (5-6) seraient requis en période de sevrage. L’eau est un remarquable véhicule (homéopathie) de l’information. Selon Reine-Claire, pas besoin d’appareils sophistiqués pour hausser ses fréquences. Il suffit de mettre notre eau de boisson (verre ou pichet) à hauteur du cœur et de formuler en conscience notre intention. On peut faire de même avec la nourriture, et ce en toute discrétion en mettant nos mains de chaque côté de notre assiette ou en inclinant le torse (ici c’est le chakra du cœur qui est sollicité) vers celle-ci.
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Enfin, ceux qui sont sérieusement intéressés par la démarche de l’alimentation pranique seront bien avisés de se faire accompagner adéquatement sur ce chemin d’exception, potentiellement dangereux s’il est vécu dans l’ignorance de tous ses aboutissants.
Se nourrir de Prâna, ce n’est pas jeûner
Prana
Venons-en au jeûne. On peut survivre, selon les conditions, une semaine (certains même pas 3 jours) sans boire et un mois sans manger, plus longtemps pour les constitutions solides. Alors, comment fait-on pour vivre sans manger des années durant ? Voilà ce que j’en comprends : Quand on jeûne, on envoie aux cellules du corps le message suivant : « Prends ton mal en patience cocotte, on va re-manger bientôt » ou alors « C’est bien dommage, mais si on ne mange pas bientôt, on va mourir mon coco ! ».
L’un comme dans l’autre, le corps est en attente ou en panique et « gruge » dans la matière biologique. Les résultats peuvent être favorables si on sait contrôler l’expérience ou (c’est bien ça) mortels si ça dure trop longtemps. Par contre, quand on a vraiment transmuté son code biologique en code pranique, le corps a définitivement « compris » qu’il peut non seulement survivre, mais vivre de Prâna. Il a également admis que le Prâna vital peut être ingéré à partir de l’air ambiant. On est alors devenu un mutant, une mutante. Cool. On dirait de la science fiction.
Témoignage d’Henri Monfort qui vit depuis 5 ans sans absorber aucune nourriture solide. Loin d’être un défi, cette expérience relève d’une croissance de l’harmonie entre sa physiologie et l’énergie omniprésente dans l’univers, le prana, au point de pouvoir en être nourri et en parfaite santé.
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Mais pourquoi arrêter de manger ? C’est si bon maman !
À partir du moment où j’accepte que je puisse effectivement modifier ma mécanique biologique et vivre de Prâna, je calme mon corps mental. Quand j’ai enfin vérifié dans ma chair que je peux vivre de Prâna, j’ai définitivement rassuré le corps mental. La mécanique pranique est installée. Mon corps physique, lui, sait dès le départ qu’il peut réaliser ce prodige. Par contre, personne ne peut m’enlever les mémoires agréables que j’associe au fait de manger. Eh oui, manger est un plaisir (surtout dans notre société) même s’il s’évalue inégalement sur l’échelle du bien-être selon les individus et le moment. Le corps émotif résiste à ce qu’il considère comme une abomination : ne plus manger.
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Vivre de Prâna est donc une démarche extraordinaire qui ne rencontrera, éventuellement, la complicité des trois corps que très progressivement. Alors pourquoi se donnerait-on le défi inconcevable, pour la plupart, de ne plus manger ? Pour devenir le maître de sa matière, lancerait assurément une Reine-Claire triomphante ; pour goûter la légèreté intrinsèque d’un corps libéré des contingences de la digestion (un immense travail au quotidien), pour l’éclatant regain d’énergie qui s’en suit, pour la diminution de nos besoins en sommeil (un p’tit 4 heures de sommeil, super), pour l’expansion de nos facultés intellectuelles et parapsychiques et, plus pragmatiquement, pour épargner tout le temps et l’argent qui sont liés au fait de manger, au niveau individuel et, imaginez la merveille, au niveau planétaire…
Mettre du Prâna dans mon assiette et dans ma vie
Prana
En conclusion, si vous êtes comme moi, ben tiens, nous sommes les plus nombreux à cette étape, vous serez plutôt interpellés par le projet de mettre davantage de Prâna dans votre assiette, c’est-à-dire tout en continuant de manger. En premier lieu, en ce qui me concerne, à travers les bienfaits reconnus de l’alimentation vivante et aussi l’incorporation consciente du Prâna. Mon programme est simple. C’est d’ailleurs une des convictions que partage volontiers Reine Claire Lussier : plus c’est simple, plus c’est efficace ! Alors quoi ? Manger vivant en conscientisant l’importance du Prâna dans ma nourriture. Parallèlement, respirer le Prâna dans l’air ambiant, le plus souvent et particulièrement quand je suis en nature, en méditation, au lever et au coucher. Boire plus d’eau, une eau programmée par mes soins à ma fréquence lumineuse, celle de mon âme. Et puis laisser vivre tout ça dans mon corps, dans la Joie.
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Voilà, j’espère que cette incursion sommaire dans le monde de l’alimentation pranique vous aura inspiré le meilleur pour votre cheminement personnel. Toutefois si jamais vous êtes de ceux qui sont interpellés plus radicalement par la démarche, n’hésitez pas à contacter des personnes ressources compétentes.
(MISE EN GARDE : Cet article n’est pas une invitation à pratiquer l’alimentation pranique tous azimuts. Par contre, les personnes intéressées y trouveront des références pertinentes pour approfondir le sujet et contacter des ressources avisées.)

Bon Prâna !
Prana
Sylvie Alice Royer
Thérapeute en soins esséniens, Coach en alimentation vivante 
courriel : yorre@ccapcable.com
www.vertparnature.blogspot.com

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